La
Minute Histoire du Professeur Le Bars !
15 jours ! Il aura fallu quinze jours au Professeur Le Bars pour éponger toutes les larmes de son corps, sorties par ses yeux à l’occasion du grand feu de joie organisé par trois jeunes mineurs. On se demande vraiment ce qu’ils cherchaient là quand on sait que les Mines de Trémuson sont tout à fait à l’opposée de la ville, même fermées !? Réponse le 23 mars puisque les Néron en herbe seront face à leur juge… Si la bâtisse n’a jamais réellement été visible et visitable, il semblait important de lui rendre hommage en postant une carte postale la concernant. On peut déjà noter sur la photo de l’époque qu’on ne voyait rien de plus qu’aujourd’hui. C’était seulement un peu moins touffu. Pour tout vous dire, en dehors de la broderie, on ne faisait pas dans la dentelle rapport aux arbres. Ça ratiboisait sévère autour des chaumières afin d’assurer le chauffage, la préservation des espèces ne s’appliquant qu’aux êtres humains. En témoigne ce tas de branchages pleurant dans un coin de ferme son doux tronc disparu. Si vous retournez aujourd’hui au 97 de la rue de la Tour (ou 95, on ne va pas chicaner), les enfants arbres ont bien repoussés et pourrissent bien la vue... La rue, elle, a été débarrassée de la vieille dame et de sa terre battues… En fermant les yeux vous sentirez peut-être l’odeur du feu envahir votre cerveau de Pan. Ce ne sera pas celle de l’incendie mais celle des cheminées d’hiver préparant nos anciens à nous donner la vie (cette remarque n’est valable que pour les personnes nées fin octobre, début novembre).
Pour terminer, et compléter la carte d’aujourd’hui, ce manoir incendié fut édifié par Alexandre Glais-Bizoin (A.G-B pour les intimes) en 1852. Député de son état ainsi que des Côtes-du-Nord, il fut l’un des défenseur du tarif postal unique alors même qu’une photo-carte postale de sa maison n’avait pas encore été envisagée…
Fallait être couillu !
15 jours ! Il aura fallu quinze jours au Professeur Le Bars pour éponger toutes les larmes de son corps, sorties par ses yeux à l’occasion du grand feu de joie organisé par trois jeunes mineurs. On se demande vraiment ce qu’ils cherchaient là quand on sait que les Mines de Trémuson sont tout à fait à l’opposée de la ville, même fermées !? Réponse le 23 mars puisque les Néron en herbe seront face à leur juge… Si la bâtisse n’a jamais réellement été visible et visitable, il semblait important de lui rendre hommage en postant une carte postale la concernant. On peut déjà noter sur la photo de l’époque qu’on ne voyait rien de plus qu’aujourd’hui. C’était seulement un peu moins touffu. Pour tout vous dire, en dehors de la broderie, on ne faisait pas dans la dentelle rapport aux arbres. Ça ratiboisait sévère autour des chaumières afin d’assurer le chauffage, la préservation des espèces ne s’appliquant qu’aux êtres humains. En témoigne ce tas de branchages pleurant dans un coin de ferme son doux tronc disparu. Si vous retournez aujourd’hui au 97 de la rue de la Tour (ou 95, on ne va pas chicaner), les enfants arbres ont bien repoussés et pourrissent bien la vue... La rue, elle, a été débarrassée de la vieille dame et de sa terre battues… En fermant les yeux vous sentirez peut-être l’odeur du feu envahir votre cerveau de Pan. Ce ne sera pas celle de l’incendie mais celle des cheminées d’hiver préparant nos anciens à nous donner la vie (cette remarque n’est valable que pour les personnes nées fin octobre, début novembre).
Pour terminer, et compléter la carte d’aujourd’hui, ce manoir incendié fut édifié par Alexandre Glais-Bizoin (A.G-B pour les intimes) en 1852. Député de son état ainsi que des Côtes-du-Nord, il fut l’un des défenseur du tarif postal unique alors même qu’une photo-carte postale de sa maison n’avait pas encore été envisagée…
Fallait être couillu !
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