La Minute Histoire du Professeur Le Bars !
Sur cette carte postale, datant de bien avant ma grand-mère décédée, on peut voir un attroupement de charrettes sur la Place Duguesclin. La photo, prise un vendredi noir d'octobre à 10h00 du matin, met en scène une vente de bois. Il faut savoir qu'à cette époque, la drogue ne courant pas encore les rues, ce sont les fagots qu'on trafiquait. Autant vous dire que si la dose de petit bois n'était pas ramenée au foyer par la femme ou le mari, ça chauffait dans les chaumières malgré tout...
Vers 1910, les maisons du deuxième plan furent rasées pour laisser la place à une majestueuse bâtisse que l'on peut toujours admirer et qui sert aujourd'hui de banque. Notons aussi que les propriétaires, meilleurs en commerce qu'en géographie, nommèrent leur magasin "Grand Bazar Parisien" alors même qu'ils n'étaient pas à Paris...
Fallait être couillu !
Sur cette carte postale, datant de bien avant ma grand-mère décédée, on peut voir un attroupement de charrettes sur la Place Duguesclin. La photo, prise un vendredi noir d'octobre à 10h00 du matin, met en scène une vente de bois. Il faut savoir qu'à cette époque, la drogue ne courant pas encore les rues, ce sont les fagots qu'on trafiquait. Autant vous dire que si la dose de petit bois n'était pas ramenée au foyer par la femme ou le mari, ça chauffait dans les chaumières malgré tout...
Vers 1910, les maisons du deuxième plan furent rasées pour laisser la place à une majestueuse bâtisse que l'on peut toujours admirer et qui sert aujourd'hui de banque. Notons aussi que les propriétaires, meilleurs en commerce qu'en géographie, nommèrent leur magasin "Grand Bazar Parisien" alors même qu'ils n'étaient pas à Paris...
Fallait être couillu !
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